Vous avez jusqu’au 30 juin 2021 pour transformer vos heures de DIF en Euros

Si vous étiez salarié avant le 31 décembre 2014, vous disposez peut-être encore de droits DIF reportables sur votre compte formation. Vous avez jusqu’au 30 juin 2021 pour effectuer cette opération.

Le DIF ou Droit Individuel à la Formation correspond au dispositif de formation professionnelle en vigueur jusqu’au 31/12/2014 pour les salariés du secteur privé,  et jusqu’au 31/12/2016 pour les agents du secteur public avant son remplacement par le CPF.

Vous avez jusqu’au 30 juin 2021 pour effectuer cette opération.

Les heures DIF renseignées sont converties automatiquement en euros selon un taux de conversion de 15€/heure, pour une valeur maximum de 1800 €.  À compter du 1er juillet, ces heures seront automatiquement intégrées dans votre compte CPF, selon le même taux et dans la limite de 5000 €.

Une fois vos heures DIF transformez en Euros, il ne vous reste qu’à choisir la formation professionnelle de votre choix dans le but d’acquérir de nouvelles compétences, d’évoluer professionnellement, de vous reconvertir ou pour favoriser votre insertion sur le marché de l’emploi.

Avantage non négligeable du CPF, il redonne le pouvoir à chacun de se former au domaine de son choix sans l’accord préalable de son entreprise.

Reprise des formations

Actualités – jeudi 30 avril 2020

Après les annonces du Premier Ministre ce mardi, nous avons l’accord pour reprendre l’activité de nos formations à compter du 11 mai 2020. 

Afin d’éviter la propagation du virus et protéger les stagiaires au sein de notre établissement, nous allons mettre en place les mesures suivantes :

  • Pas de contacts physiques entre les stagiaires (pas de serrage de mains).
  • Nous demanderons aux stagiaires de se laver les mains avant l’entrée en formation et aussi souvent que possible.
  • Solution hydro alcoolique à disposition au centre
  • Pour les formations en salle, nous laisserons une chaise vide entre chaque stagiaire pour respecter la distanciation sociale (1m minimum).
  • Les salles de formations seront désinfectées midi et soir.
  • Concernant le modules de pratique notamment avec les engins, nous mettrons à disposition des lingettes désinfectantes afin de nettoyer les organes de commandes (volants, leviers, etc.) avant et après chaque passage de stagiaire.

A très vite

Anaïs & Benoît

Réforme des CACES®

Prévention – Mardi 22 octobre 2019

Au 1er janvier 2020, de nouveaux certificats d’aptitude à la conduite en sécurité (Caces, marque déposée par la CNAMTS) entreront en vigueur. Rénové par les partenaires sociaux, le nouveau référentiel impacte dès aujourd’hui les organismes certifiés avec des modalités de réalisation des tests remaniées (moyens, contenu des épreuves, critères d’évaluation, etc.).

Rénovées par les partenaires sociaux, les recommandations qui encadrent le Caces entreront en vigueur en 2020. « Il ne s’agit pas d’une révolution mais plutôt d’une évolution vers plus de rigueur dans la réalisation de ces tests destinés à valider la capacité à conduire en sécurité un engin de chantier, de levage ou de manutention », explique Thierry Hanotel, expert INRS.

Pour les employeurs et les conducteurs, les principaux changements concernent les modalités de réalisation des tests. En particulier, chaque organisme testeur certifié devra, pour pouvoir délivrer des Caces à partir de 2020, disposer d’un centre de déroulement de tests où les épreuves théoriques et pratiques pourront être organisées. En outre, les caractéristiques techniques minimales des équipements qui pourront être utilisés pour les épreuves pratiques ont été clairement définies, en prenant en compte l’évolution des matériels. De même, le contenu des épreuves théoriques a été détaillé. Celles-ci s’appuieront à terme sur une base de questions élaborées par l’INRS.

Deux nouvelles familles de Caces

Autre nouveauté : deux familles de Caces, qui concernent les chariots de manutention automoteurs gerbeurs à conducteur accompagnant d’une part, et les ponts roulants et portiques d’autre part, ont été ajoutées aux 6 familles existantes (voir encadré). « Depuis plus de 25 ans, des recommandations incitent à délivrer une autorisation de conduite de façon volontaire pour ces types d’équipement, précise Thierry Hanotel. Pour ces deux familles,  le Caces n’est pas destiné à remplir une obligation réglementaire, mais n’en reste pas moins un bon moyen de s’assurer que le conducteur est capable de conduire en sécurité ».

Toutes ces évolutions impactent dès maintenant l’ensemble des acteurs du dispositif :

  • le réseau Assurance maladie – risques professionnels (CNAM, INRS, CRAMIF / CARSAT / CGSS), opérateur du dispositif et propriétaire de la marque Caces, élabore les textes applicables
  • les organismes certificateurs (OC), au nombre de cinq à ce jour,  qui sont conventionnés par la CNAM et accrédités par le Comité français d’accréditation (COFRAC) certifient à leur tour les centaines d’organismes testeurs certifiés (OTC) pour délivrer les Caces, sur la base d’un cycle d’audits annuels qui incluent leurs testeurs « personnes physiques ».

Les nouvelles recommandations Caces

Chaque recommandation définit notamment le contenu et les modalités des épreuves théoriques et pratiques pour chaque catégorie d’équipements concernés. L’annexe 2 jointe à chacune de ces recommandations propose en outre un référentiel de connaissances et de savoir-faire, à partir duquel les organismes spécialisés et les employeurs peuvent définir le contenu de leur formation à la conduite en sécurité. 

Six recommandations ont été rénovées : 

Deux recommandations ont été créées : 

Source : inrs.fr

EPI : pas de place pour l’improvisation

Prévention – Mercredi 24 juillet 2019

Bien que les EPI (Equipements de Protection Individuelle) occupent la dernière place dans la hiérarchie des mesures de prévention à mettre en oeuvre, ils sont parfois le dernier rempart contre un risque ou un danger. Mais comment choisir ses EPI et surtout, comment les faire accepter par l’ensemble des collaborateurs ?

La prévention des risques au travail demande de prendre des mesures en vue d’éliminer les dangers et de réduire les risques pour la santé et la sécurité au travail. Dans un premier temps, on cherche toujours à éliminer les dangers. Si ce n’est pas possible, on cherche à substituer les procédés, opérations, matières ou équipements à l’origine du ou des dangers par un ou des équivalents moins dangereux. Lorsque c’est impossible ou insuffisant, on envisage de mettre en oeuvre des protections collectives et à réorganiser le travail. On ajoute ensuite des mesures de prévention administratives si cela ne suffit pas. Et seulement après avoir constaté que cette hiérarchie de mesures de prévention a été suivie et que des dangers et risques subsistent encore, on déploie des équipements de protection individuelle.

Mais n’importe quel EPI ne peut pas être déployé en entreprise, sous peine de dépenser des sommes non négligeables pour peu ou pas de résultats. En effet, un EPI mal choisi peut être utilisé mais ne va pas réduire le danger ou le risque parce qu’il est inadapté. Sinon, l’EPI peut ne pas provoquer l’adhésion des collaborateurs utilisateurs finaux et ne pas (ou peu) être porté. Malgré leur mise à disposition les collaborateurs peuvent dans ces deux cas continuer à être soumis à d’éventuels heurts, blessures, accidents…rendant ainsi lesdits EPI obsolètes et inutiles.

C’est pourquoi, le choix d’un EPI ne s’improvise pas.  Il doit être maîtrisé et méthodologique. Pour cela, il convient de mener une série d’actions.

Prendre en compte les réalités du terrain, une nécessité

Pour commencer, placer l’humain au coeur des préoccupations est indispensable. Les EPI ne peuvent pas être choisis par une seule personne, sans doute éloignée de tout ou partie des réalités « terrain » à considérer pour la prise de décision.

La constitution d’un groupe de travail mêlant managers, opérationnels et HSE est préférable. Chacun pourra ainsi apporter sa connaissance du contexte et des contraintes pour envisager l’EPI le plus adapté. Cette démarche colle notamment aux exigences de l’ISO 45001 pour la participation et la consultation des collaborateurs.

Ce groupe devra rencontrer plusieurs fournisseurs pour avoir une gamme de choix aussi large que possible. Ceci aura aussi pour but de récolter et de confronter les avis de ces professionnels de l’EPI qui ont un rôle de conseil envers leurs clients.

Le groupe de travail doit aboutir à la définition du ou des EPI qui pourraient convenir pour éliminer le danger ou réduire le risque. Si possible, il est préférable d’isoler plusieurs modèles disponibles chez plusieurs fournisseurs pour test.

Des équipements à tester, dans la durée

Le test devra idéalement être réalisé en conditions réelles par des personnes qui auront à adopter l’EPI à terme. Il faudra donc constituer un panel de testeurs et pas uniquement les personnes initialement choisies pour le groupe de travail. D’autres collaborateurs devront être intégrées pour avoir un panel encore plus hétérogène, représentatif et objectif. En effet, se contenter des personnes faisant partie du groupe de travail présente le risque d’obtenir des résultats tronqués par d’éventuels a priori dûs aux sensibilités de chacun. Leur choix est peut-être déjà orienté en raison d’un meilleur feeling avec tel ou tel fournisseur, une préférence pour tel ou tel modèle…

Le test “in situ” doit être orienté vers les performances de l’EPI notamment en ce qui concerne sa capacité à éliminer le danger et réduire le risque, mais pas que. Les retours à obtenir doivent également porter sur le confort de travail avec l’EPI, les gênes rencontrées, la possibilité d’utiliser l’EPI au quotidien sans avoir à en changer, sa durée de vie…

Les questions sont multiples mais doivent être posées. Impossible donc de prévoir un test sur quelques jours seulement. Pour passer en revue toutes les possibilités et obtenir les résultats des tests, des semaines sont souvent nécessaires. Du temps perdu à bon escient puisqu’il permettra à terme d’acheter juste pour un maximum de résultat.

La formation à l’EPI, un incontournable

Une fois choisi, l’EPI ne peut pas être simplement distribué avec ordre d’être porté. Chaque déploiement doit être accompagné d’un travail de prévention, notamment pour encadrer et prévenir le phénomène de résistance au changement ou tout autre phénomène réfractaire.

Pour les EPI particulièrement spécifiques, pensez à prévoir une formation dispensée par le fournisseur de l’EPI. C’est par exemple proposé lors du déploiement de casques ventilés pour mieux appréhender les différents réglages disponibles (entre autre). Cette formation se prêtera particulièrement à l’appropriation de l’EPI. Elle peut paraître coûteuse mais sera vite amortie si l’EPI est adopté rapidement et facilement, et non laissé dans un placard.

N’hésitez pas non plus à sensibiliser les futurs utilisateurs et à leur faire des démonstrations si nécessaire. Mieux vaut leur montrer que de les encourager à délaisser l’EPI ou à faire des tests (sans doute trop dangereux) par eux même. Par exemple, vous pouvez facilement démontrer les performances d’un gant anti-coupure ou d’un gant anti-choc.

Enfin appuyez-vous sur des cas concrets pour expliquer en quoi ces EPI sont nécessaires. Vous pouvez par exemple aborder le sujet lors de causeries et présenter des articles ou d’anciens rapports d’accident ayant eu lieu en interne. Des exemples provenant de l’extérieur peuvent également être parlant. On adhère toujours plus facilement à quelque chose si on s’identifie à elle, ce qui est plus facile à faire face à un cas concret.


Vous l’aurez donc compris, choisir un EPI ne se résume pas à choisir un modèle dans un catalogue. Le déployer dans votre entreprise ne se résume pas à le distribuer à vos collaborateurs. Enfin le faire porter ne se résume pas à donner l’ordre de le faire. Le HSE doit se placer au centre d’une démarche longue et complexe mais bénéfique pour tous quand elle est convenablement menée à bien.

Source : http://www.bloc-qhse.com

Précautions à prendre en cas de canicule

Prévention – Mercredi 26 juin 2019

💡 Exposé à la chaleur, le corps transpire beaucoup pour se maintenir à la bonne température. Il y a un risque de déshydratation…

Quelles précautions prendre ? 🤔

🔹 Être vigilant pour ses collègues et soi-même
🔹 Protéger sa peau et sa tête du soleil
🔹 Boire beaucoup d’eau plusieurs fois par jour
🔹 Dès que l’on se sent mal, le signaler

Comment agir en tant qu’employeur ? 🤔

🔸 En aménageant si possible les horaires de travail
🔸 En installant des points d’eau potable à proximité des postes de travail

💡 Exposé à la chaleur, le corps transpire beaucoup pour se maintenir à la bonne température. Il y a un risque de déshydratation…

Quelles précautions prendre ? 🤔

🔹 Être vigilant pour ses collègues et soi-même
🔹 Protéger sa peau et sa tête du soleil
🔹 Boire beaucoup d’eau plusieurs fois par jour
🔹 Dès que l’on se sent mal, le signaler

Comment agir en tant qu’employeur ? 🤔

🔸 En aménageant si possible les horaires de travail
🔸 En installant des points d’eau potable à proximité des postes de travail

Source : inforisque

Première séance de réveil musculaire à l’ESAT

FormationMardi 04 Juin 2019

Le Quatre Juin a eu lieu la première séance de réveil musculaire pour les salariés d’un ESAT.

Salariés de L’ESAT réalisant des exercices

Les objectifs sont multiples : 


– Découvrir, comprendre et pratiquer les différents gestes qui permettent un échauffement musculaire adapté à leurs conditions de travail
– Améliorer la qualité de vie du travail

Les bénéficiaires disposeront des services de Sylvain, coach sportif, une vingtaine de minutes, 2 fois par semaine jusqu’à la fin de l’année pour adopter les gestes nécessaires à une bonne hygiène de vie, le tout dans une très bonne humeur.